N'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (54.80.185.137) si quelqu'un porte plainte.
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Alors que je me rendais chez mon petit ami, je voyais garer devant la porte de sa maison, une voiture qui ne m'était pas inconnu. Je prenais les clefs et l'enclenchais dans la serrure. Je l'ouvrais doucement, et distinguais comme un bruit à l'étage. Je montais, et entendais des gémissements provenant de la chambre. Je poussais la porte et là, je le voyais nu sur une fille, que je connaissais très bien.
Pourquoi avait-il fallu que le sort s'acharne sur moi ? Qu'avais-je fait de mal pour qu'il me trompe ? Non, je ne l'admettais pas. Je lui balançais tout ce qui était à ma portée et le traitais de tous les noms. Je quittais l'appartement et me réfugiais chez ma meilleure amie Hinata. Je pleurais dans ses bras alors qu'elle me réconfortait du mieux qu'elle le pouvait, mais rien n'y faisait.
Il fallait dire que cela faisait un an que l'on sortait ensemble. Comment avait-il pu ? Je le détestais. Hinata m'installait dans la chambre d'ami. La pauvre, déjà avec sa grossesse, elle était fatiguée, alors avec mes problèmes, elle l'était doublement. Avec toutes ses larmes versées, je finissais par m'endormir.
Pov Naruto.
Alors que je garais ma voiture de fonction, une Peugeot trois cent huit noir, sur le parking du commissariat central de Tokyo, je voyais un collègue et ami faire de même avec sa deux cent sept grise.
- Shikamaru, l'appelais-je.
- Salut Naruto, prêt pour rencontrer ton nouveau coéquipier ?
- Pas vraiment, je me demande sur qui je vais encore tomber . - Le dernier n'a pas fait deux semaines. Tu as été le voir à l'hôpital ?
- Oui hier, je lui ai souhaité un bon rétablissement.
- N'empêche, c'est grâce à toi qu'il est encore en vie. Si tu n'avais pas vu le mec brandir son arme, ce n'est pas à la jambe qu'il aurait reçu la balle, mais dans la tête.
- De toute façon, il n'aurait pas tenu plus longtemps, même sans cette accident. Il n'était pas très sûr de lui, il commettait des fautes, et je ne l'aurai pas supporté longtemps.
Nous entrions dans le commissariat, faisant un signe de salutation au garde posté devant la porte.
- Bonjour lieutenant, nous disait-il.
Nous grimpions les escaliers et montions au deuxième étage, puis croisions un autre collègue, le coéquipier de Shikamaru.
- Salut Naruto.
- Salut Kiba.
- J'ai vu ton nouveau coéquipier. A première vue, il n'a pas l'air commode.
- En tout cas, il n'a pas intérêt à me chercher des noises.
- D'ailleurs, le commissaire t'attend dans son bureau.
Je le remerciais et me dirigeais vers le bureau du commissaire. Je frappais à la porte et il me disait d'entrer. Je le voyais à son bureau, entrain de discuter avec un jeune homme, certainement du même âge que moi. Cheveux noirs ébène relevés en pique, avec deux franges sur le côté. Il me fixait avec ses yeux onyx, me faisant froid dans le dos.
- Naruto, je te présente Sasuke Uchiwa. Il vient de passer lieutenant de police et il fera équipe avec toi.
- Salut, disait-il en me tendant la main.
- Salut, et bienvenu, répondis-je en la lui serrant.
C'était bizarre, son nom de famille ne mettait pas inconnu, je n'arrivais pas à m'en souvenir. Enfin bref, je saluais mon chef et accompagnais Sasuke à son nouveau bureau, qui était le mien aussi. La pièce était assez grande, deux bureaux collés l'un à l'autre. De nouveaux ordinateurs avaient été installé, il y avait une semaine, avec un tout nouveau programme.
J'avais un peu de mal à le faire fonctionner. Il sortait de son sac à dos, un énorme dossier, qu'il rangeait dans un tiroir avant de prendre soin de le fermer à clef. Tout à coup, mon téléphone sonnait, c'était Hinata. Je décrochais avec surprise.
- Que se passe t-il ? Lui demandais-je inquiet.
- Sakura est à la maison. Elle a surpris Kyo avec une autre fille, faisant du sport de chambre.
- C'est pas vrai, je lui avais dit de casser depuis longtemps.
- Je l'ai installé dans la chambre d'ami, je pense qu'elle va dormir ici.
- D'accord, j'irai lui dire deux mots à ce con.
- Ne t'emballe pas, je te connais.
- Ne t'en fais pas.
- Naruto, on a un cas d'homicide au cent un avenue de la liberté, intervenait Kiba en entrant dans la pièce.
- D'accord, on y va.
J'irai voir cet enfoiré un autre moment, mais il ne perdait rien pour attendre.
Pov Sasuke
Alors que je montais dans la voiture de Naruto, nous entendions le centre d'appel.
- Central à Alpha trois.
- Alpha trois, j'écoute, disait mon coéquipier en prenant le combiné.
- Deux suspects de l'homicide du cent un avenue de la liberté ont été repéré dans le quartier des lumières, dans une voiture verte de la marque de Toyota, immatriculée, neuf neuf U C quarante deux. Ils sont probablement armés.
- Compris, on fonce immédiatement.
Je mettais le gyrophare et il appuyait sur le champignon. Il grillait tous les feux et slalomait entre les voitures. Il conduisait assez vite, mais pas comme moi.
- Central à alpha trois, vous me recevez ?
- Central, ici alpha trois, j'écoute, disais-je en prenant le combiné.
- La voiture a été repéré le long de l'avenue de Tokyo.
Tout à coup, nous voyions une Toyota verte passer à toute allure devant nous. Naruto accélérait à toute vitesse et nous les poursuivions.
- Central, ici Alpha trois, nous sommes derrière les suspects. Il file en direction de la gare centrale, le long de l'avenue de Tokyo.
- Reçu, je vous envoie du renfort.
Au bout de quelques minutes, ils s'arrêtaient devant la gare. Deux hommes descendaient de la voiture et filaient à l'intérieur. Mais, l'un deux trébuchait sur des bagages et s'affalait sur le sol. Naruto l'attrapait et lui mettait les mains derrière le dos en s'asseyant dessus.
- Je te laisse l'autre, me disait-il en menottant le gars.
Je courrais dans la gare et le poursuivais. Putain, c'était mon premier jour et j'étais déjà obligé de courir. Lorsque je l'aurai attrapé, il passerait un mauvais quart d'heure. Je le voyais, il était à quelques mètres devant moi. Il slalomait entre les gens et descendais les escalators en bousculant quelques personnes.
- Police, dégagez, leur disais-je pour qu'ils me laissent passer.
Nous nous retrouvions alors sur le quai, mais le train venait de partir. Il était bloqué. Je ne savais pas s'il était armé, alors je sortais mon arme.
- Il n'y a aucune issue, alors rends toi.
Plusieurs personnes reculaient vers la sortie, mais ne voyant aucun recourt, il prenait une fille en otage et brandissait un couteau sous sa gorge.
- Lâche la.
- Non, c'est ma sortie.
- N'aggrave pas ton cas en plus du meurtre.
- Je ne l'ai pas tué, il était déjà mort.
- Si ce que tu dis est vrai, alors tu ne crains rien.
- Les flics mentent. Si je baisse mon arme, ils vous buttent et font croire à la légitime défense.
- Regarde, je remets mon arme dans son étui.
Je levais les mains et m'approchais de lui.
- T'approche pas, sinon je la tues.
- Ça va t'avancer à quoi de la tuer. Puisque tu n'as tué personne, tu ne vas pas commencer maintenant.
Tout à coup, Naruto déboulait et pointait son arme vers lui.
- Non, laisse, je m'en occupe.
Il rengainait son arme et observait la scène.
- Allez, rends-toi, insistais-je en tendant la main afin qu'il me donne le couteau.
Il commençait à baisser son arme, mais la fille lui donnait un coup de coude dans le ventre.
- Espèce de conne, gémissait-il en se pliant en deux.
Il se jetait sur moi, mais je le désarmais facilement et lui donnait un coup de genou dans le ventre. Il s'écroulait à terre et je le plaquais sur le sol avant de lui mettre les menottes en même temps que le train entrait en gare.
- Il était temps, bien joué, me félicitait Naruto.
Il ramassait le couteau et le mettait dans un sac en plastique.
- Merci beaucoup, entendions nous.
Nous nous retournions et voyions la jeune otage, une belle brune aux yeux bleus.
- Vous m'avez sauvé la vie, je voudrai vous remercier.
Elle me tendait une carte avec son numéro de téléphone. Et ben dit donc, c'était une rapide.
- Désolé, je ne mélange jamais le travail et le plaisir. Et puis, vous n'êtes pas mon genre.
Naruto écarquillait les yeux, suivit de la jeune femme qui était tout aussi choquée. C'était vrai que j'avais été un peu cru, mais je détestais ce genre de filles. Je prenais le suspect et lui disais ses droits en même temps que je l'emmenais à l'extérieur de la gare.
N'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (54.80.185.137) si quelqu'un porte plainte.
Nous arrivions dans la bijouterie, qui à ma grande surprise, était clean. Les vitrines étaient intactes, aucun objet sur le sol, et me semblait-il, aucune trace de lutte. Nous voyions le cadavre d'un homme de cinquante ans, une balle dans la poitrine.
- Salut Témari, disais-je en la voyant, penchée sur le cadavre.
- Salut Naruto. Comment va Hinata et sa grossesse, ça lui fait combien de mois déjà ?
- Trois, et elle va bien.
- Quand j'aurais un peu plus de temps, je passerai la voir.
- Ça lui fera plaisir.
- Hum, hum.
Nous décalions notre regard vers Sasuke.
- Témari voici mon nouveau coéquipier, Sasuke Uchiwa.
- Enchanté et bienvenu.
- Merci, répondait-il un peu froidement.
- Alors, ça donne quoi ?
- Comme je l'ai déjà dit à ce gros flemmard de Shikamaru, il a été tué à bout portant, comme l'indique les traces de poudre autour de la plaie, par un neuf millimètres. Et vu l'état de ses mains, qui sont propres, il ne s'est pas débattu.
- Il se pourrait qu'il connaissait son assassin ?
- Oui, ou qu'il n'a pas eu le temps de se défendre, intervenait Sasuke.
Alors que Témari allait sortir son thermomètre.
- Attendez, c'est quoi ça ?
Il indiquait les épaulettes de la veste de l'homme. Une petite tâche blanchâtre y était visible. Témari prenait un scotch et en prélevait un échantillon.
- Bien vu, complimentait-elle en le mettant dans sa valise.
Elle prenait ensuite la température du foie.
- Vu le degré de son foie, il est mort, entre huit heure et neuf heure.
- Tu es sûr ? Disais-je surpris par sa réponse.
- Remettrais-tu en question mes capacités de médecin légiste ?
Je reculais un peu, car elle me faisait des yeux de tueuses. Il y avait des fois, où elle me faisait peur.
- Non mais, ça ne colle pas avec la présence des suspects que nous avons arrêté.
- Il y a une explication, m'informait Sasuke.
Nous nous retournions vers lui avant de voir Shikamaru et Kiba arriver sur les lieux.
- Naruto, me disait Shikamaru. Tu as arrêté les suspects ?
- Oui, et vous, vous avez quoi ?
- Les témoins disent qu'ils ont vu entrer deux jeunes, à neuf heure trente et cinq minutes après, ils sont ressortis en courant, dans une Toyota verte. A travers la fenêtre, ils ont vu des pieds qui dépassaient d'un bureau.
- A neuf heure trente, l'interrompait Sasuke. Cela ne correspond pas à l'heure de la mort. De plus, il n'y a pas de trace d'effractions, la serrure est intact. Et comme l'a dit Témari, l'homme ne s'est pas défendu. Donc, il connaissait son assassin.
- Le magasin était peut-être ouvert à cette heure ci, émettait Kiba.
- Non, le magasin n'ouvre qu'à dix heure, comme l'indique le panneau devant le magasin. En plus, aucun bijou n'a été volé, et aucun ont été retrouvé sur les suspects.
- Alors pourquoi ont-ils fuit, sans emmener de bijoux ? Demandais-je.
- Tu ferais quoi toi, si tu voyais un cadavre ?
- J'appellerai la police.
- Alors voyons ça autrement. Que ferais-tu, si tu venais cambrioler la bijouterie, et sans doute avec déjà un casier judiciaire, tu découvrais le cadavre d'un homme ? Voyant qu'il y avait des passants, ils croiront certainement que c'est toi.
- Oui, dans ce cas là, je me tire.
Alors là chapeau, ce n'était pas pour rien, qu'on l'avait promut lieutenant.
- On l'emmène, disait Témari. J'en saurais plus dans mon labo.
Je sortais en compagnie de Sasuke, direction le commissariat, pendant que Shika et Kiba restaient pour finir d'inspecter les lieux.
Pov Hinata.
Pauvre Sakura, elle n'avait vraiment pas de chance en amour. Naruto avait raison, il n'était pas net. Elle aurait dû l'écouter. Mais, elle l'aimait, et je pensais qu'elle l'aimait encore. Lui pardonnerait-elle ? C'était à elle de décider. Tout à coup, on sonnait à la porte. Je l'ouvrais, mais celle-ci était retenu par la chaîne. C'est pas vrai, mais...
- Qu'est ce que tu fous là Kyo ?
- Je veux lui parler.
- Non, dégage, sinon j'appelle Naruto.
- Je veux juste lui parler.
- J'ai dit non.
- Laisse le entrer, intervenait Sakura en entrant dans le salon.
Je lui obéissais et défaisais la chaine avant qu'il n'entre en trombe dans le salon.
- Non, ne t'approche pas de moi.
- Hinata, tu veux bien nous laisser seuls.
- Non, je veux qu'elle soit témoin de ce que je vais te dire.
Pour être honnête, je ne l'aurais pas laissé seule avec lui. Je ne lui faisais pas confiance. Je m'asseyais donc dans un fauteuil entre Sakura et Kyo, qui étaient debout à quatre mètres de distance.
- Alors, je t'écoute, disait-elle en croisant les bras.
- Je suis désolé, je ne sais pas ce qui m'a pris, j'ai succombé.
- Tu as succombé, répétait-elle furieuse. Tu as pensé à moi lorsque tu as succombé. Tu crois que ça m'a fait plaisir de te voir dans ton lit avec ta secrétaire, alors qu'on l'avait fait la veille au même endroit. Ça m'a fait tellement de mal, que je n'ai pas arrêté de pleurer.
Je voyais des larmes couler sur ses joues, Sakura craquait.
- Tu vois, disait-elle en les essuyant d'un revers de main. Ça continue.
- Sakura, je suis tellement désolé, tu ne peux pas savoir à quel point je regrette.
- C'est trop tard, c'est fini.
- Quoi ?
- C'est fini entre nous, je casse.
- Non, tu n'as pas le droit de faire ça.
- J'ai tous les droits, lorsqu'il s'agit de ma vie.
- Mais, je t'aime.
- Je t'aimais, et tu m'as trompé. Tu as commis l'erreur fatal.
- Je te jure que ça ne se reproduira plus.
- Non, c'est trop tard, c'est vraiment fini.
Un silence de mort se faisait entendre dans la pièce. Je regardais Kyo, qui avait l'air désemparé, et Sakura qui maintenait son verdict. Il se retournait et commençait à prendre le chemin de la porte de sortie. Puis, il s'arrêtait et lui lançait sans se retourner.
- Je n'abandonnerai pas, je ferai tout pour te reconquérir
- Ce serait peine perdu. Il refermait la porte derrière lui et Sakura soufflait un bon coup avant de s'écrouler sur le canapé.
- J'ai bien cru que tu allais lui pardonner.
- Non, je pense que j'aurai cassé même sans l'incident.
- Quoi ?
- Je me suis aperçus, que ce n'était pas avec lui que je voulais vivre ma vie. A chaque fois que l'on faisait l'amour, il n'y avait pas cette petite chaleur dans mon c½ur. Je me suis dit qu'elle viendrait avec le temps.
- Et elle n'est jamais venu.
- Non, et le fait qu'il ait couché avec sa secrétaire, m'a donné une excuse pour casser avec lui.
- Il avait l'air décidé lorsqu'il a dit qu'il te reconquerait.
- C'est fini Hinata, c'est fini.
Puis, elle se levait et se dirigeait vers la chambre.
- Ça te dérange pas, si je reste ici pour la nuit, je n'ai pas envie de rentrer chez moi. Je...
- Non pas du tout, tu es ici chez toi.
- Merci, me souriait-elle avant d'entrer dans la chambre.
La voilà de nouveau célibataire. J'espérais qu'elle n'allait pas faire de bêtises.
Pov Sasuke
Nous étions dans une salle d'interrogatoire. J'étais assis devant le jeune, qui devait probablement avoir à peine vingt ans, son avocat était à côté de lui. Naruto se tenait derrière eux, débout adossé au mur. On avait installé son complice dans une autre pièce pour confondre leurs faits.
- Alors, commençais-je en croisant les bras. Dis-moi ce qui s'est passé.
- Vous allez le droit de ne pas répondre, intervenait son avocat.
Je détestais les avocats, toujours à l'affût de la moindre erreur pour libérer son client.
- Si tu coopères, tu auras une peine moins lourde.
- Je n'ai pas tuer l'homme de la bijouterie.
- Je sais, ce n'est pas pour ça que tu vas être condamné.
- De quoi l'accuse donc alors ?
- Tentative de cambriolage, prise d'otage avec une arme blanche, et il s'en est prit à un policier en service.
- Que lui proposez-vous ?
- Ce sera au procureur de décider. Mais, si tu me dis tout...
- D'accord, c'est vrai qu'on avait la bijouterie en vue, avouait le jeune homme. On savait qu'elle ouvrait à 10h. Mais, elle a finalement ouvert plus tôt.
- A quelle heure ?
- J'en sais rien, on a vu un client en sortir, entre huit heure trente et huit heure quarante cinq.
- Tu peux nous le décrire ?
- Pas tellement, son écharpe cachait son visage, et il portait un chapeau.
- Que s'est-il passé ensuite ?
- On a attendu un peu, et on est entré. On a vu personne, alors, on est passé de l'autre côté du comptoir. Les vitrines étaient fermées, on a voulu les casser, mais le bruit aurait alerté les passants. Puis, Fudji a vu des clefs sur le bureau. Il s'en ai approché, et il a vu le cadavre d'un homme. On a prit peur et on s'est enfui. La suite, vous la connaissez.
- Tu pourrais décrire les vêtements de l'homme qui est sorti ?
- Son écharpe était de couleur rouge, je crois, son chapeau était noir et il portait un long manteau gris.
- Très bien, finissais-je en me levant.
- Attendez, on avait un accord, disait l'avocat.
- Ce n'est pas à moi de décider, mais au procureur. Cependant, vu que tu as tout dit, il baissera ta peine de moitié.
Je me levais et me dirigeais vers la sortie.
- Merci, me gratifiait-il.
Je faisais un maigre sourire en coin et sortais de la pièce. Soudain, le commissaire arrivait vers nous.
- Nous avons un autre homicide dans une autre bijouterie. D'après les premières constatations, il s'agirait aussi d'un neuf millimètres.
N'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (54.80.185.137) si quelqu'un porte plainte.
Alors qu'on entrait dans la bijouterie, je remarquais une vitrine fracassée, et du sang sur celle-ci ainsi qu'au sol. Une trainée de sang était également visible jusqu'au cadavre d'un homme. Témari était déjà sur place.
- Alors, lui demandais-je.
- Une balle dans le dos. Il est tombé sur la vitrine, son visage en premier, vu les traces multiples qu'il a dessus.
- Du neuf millimètres, disait Sasuke en ramassant une douille sur le sol.
- Même calibre que le premier, et probablement le même tueur.
- Lieutenant, venez voir, demandait un collègue en uniforme à Sasuke.
Ce dernier le suivait dans la pièce d'à côté.
- Naruto, viens voir, me conseillait-il.
Je me levais et pénétrais dans la pièce. Qu'est ce que c'était que ce bordel ? Des meubles renversés, des tableaux, qui à mon avis, devaient valoir une fortune, enlevés de leur mur, et des papiers éparpillés partout sur le sol.
- Cette pièce a été fouillé.
- Non, tu crois ? Me disait-il avec, je pensais, une petite pointe d'humour.
- Oui, affirmais-je. Mais qu'est ce qu'il cherchait ?
- C'est à nous de le découvrir.
Il prenait un gant et commençait à fouiller la pièce. Je faisais de même et je voyais Témari venir vers nous.
- Je l'emmène dans mon labo.
- L'heure de sa mort ? Demandais-je.
- Je ne suis pas sûr, mais vers neuf heure.
- Donc, il serait mort après l'autre.
- Certainement.
- Ça ne fait pas beaucoup de temps entre les deux meurtres.
- Les deux bijouteries ne sont pas très loin l'une de l'autre, s'exprimait Sasuke en arrivant avec un cadre photo dans la main. Tiens, regarde.
Il me tendait le cadre photo et je restais bouche bée de ce que je voyais.
- Ils se connaissaient, expliquait Sasuke.
- En effet, confirmais-je en voyant les deux hommes devant un chalet de pêche. Ils devaient être même très amis.
Puis, je remarquais un troisième homme dessus.
- Et le troisième homme, qui est-ce ?
- C'est le mystère à découvrir.
Je mettais la photo dans un sac et l'emmenais avec moi. Arrivé au commissariat, j'affichais la photo sur le tableau, où se trouvait déjà les photos des victimes.
- Ils se connaissaient, lâchait Shikamaru surpris.
- Oui, lui répondais-je. C'est le lien, entre les deux meurtres.
Le commissaire Yamato arrivait et demandait un rapport, Shikamaru débutait.
- La première victime, Takechi Kamichi, quarante deux ans, célibataire, propriétaire de la bijouterie depuis neuf ans. Un homme sans histoire, il a été tué entre huit heure trente et neuf heure, d'une balle neuf millimètres dans la poitrine. Il ne s'est pas défendu. Tout suggère à croire qu'il connaissait son agresseur. De plus, sur la photo, on peut voir qu'il connaissait la deuxième victime.
Le commissaire Yamato arquait un sourcil et je continuais le rapport.
- Yoshi Amaro, quarante deux ans, également célibataire. Il possède sa bijouterie depuis sept ans. Il a été tué entre neuf heure et neuf heure trente, d'une balle neuf millimètres, d'après la douille retrouvée sur le sol. Il a voulu fuir, mais le tueur a tiré dans le dos et il est tombé la tête la première sur la vitrine, qui a éclaté en morceau. Puis, il a fait quelques mètres avant de s'écrouler mort. La pièce d'à côté a été fouillé contrairement au premier. Mais, pour chercher quoi, ça mystère.
- Donc, les deux victimes se connaissaient, concluait Yamato en regardant la photo du chalet. Et le troisième homme, qui est-ce ?
- Aucune idée, cela peut-être la prochaine victime ou alors...
- Le tueur, suggérait Sasuke.
- Je voudrais alors qu'on me le trouve et qu'on me l'amène ici.
Soudain, mon ventre faisait des siennes, je rougissais à l'entente de ce bruit. Ils se retournaient vers moi et je souriais, mettant ma main derrière la tête.
- Désolé, je commence à avoir faim.
- Je vous accorde une pose déjeuner. Mais, faîtes vite.
Pov Sasuke
Naruto m'emmenait chez un certain Ichikaru, situé en face du commissariat.
- Des ramens au poulet chef, commandait-il en prenant place au comptoir. Et toi, tu veux quoi, je t'invite.
- Euh... Pareil.
- Chef un deuxième.
Une fois servit, il prenait les baguettes et commençait à manger, ou plutôt ingurgiter son plat de ramens.
- Alors, tu étais où avant de venir ici ? Me questionnait-il entre deux lampés de ramens.
- En banlieue sud.
- Les quartiers chic, pas mal.
- Et toi, lui demandais-je à mon tour en commençant mon plat.
- J'ai toujours vécu dans ce quartier. J'y ai tous mes amis et ma petite chérie. Et j'ai apprit il y a un mois, que j'allais être papa.
- Félicitation.
- Merci. Et toi, côté c½ur, tu as quelqu'un ?
- Non, je butine seulement.
Il arquait un sourcil avec un sourire en coin.
- Et ça te plaît de butiner de fleur en fleur ?
Je souriais à cette remarque car si on comparait à la nuit dernière, ce n'était pas une fleur que j'avais ramené à la maison, mais plutôt une mauvaise herbe.
- Oui et non, lui répondais-je simplement.
- Tu n'as pas encore trouvé la fille idéale.
- Cela n'existe pas la fille idéale.
- Tu la trouveras un jour ou l'autre, comme moi.
Tout à coup, le téléphone de Naruto sonnait, et il décrochait avec hâte.
- Ouais... c'est vrai... très bien... oui, on y va.
Il se levait et mettait un billet sur le comptoir.
- Ils ont retrouvé notre troisième homme.
- Et où ça ? Lui demandais-je en mettant mon blouson.
- En prison.
En prison, c'était de plus en plus bizarre cette affaire. Durant le trajet, Naruto me confiait la conversation, qu'il avait eu au téléphone.
- Il y a dix ans, il y a eu un casse dans une grande bijouterie au nord de la ville. Il y avait eu trois hommes. Ils ont réussi à attraper un seul d'entre eux, Yuri Koshito. Il avait offert un bijou volé à sa femme. Elle a voulu se le faire rembourser, et boom. Il n'a jamais voulu donner ses complices, qui avait disparut dans la nature. Il en a prit pour dix ans.
- Dix ans, alors il va sortir bientôt.
- Dans trois jours.
Nous arrivions à la prison et nous rencontrions Yuri Koshito.
- Je n'ai rien à dire aux flics, crachait-il en pénétrant dans la pièce.
- Assis, ordonnait Naruto sévèrement.
L'homme obéissait, mais n'avait pas vraiment l'air coopératif.
- Qu'est ce que vous me voulez ? J'ai déjà dit que je ne parlerai pas. Alors, allez-vous faire voir.
- Parle moi de Takechi Kamichi et de Yoshi Amaro.
- Connais pas.
Tout à coup, Naruto mettait les photos des deux bijoutiers mort. Le visage du prisonnier pâlissait encore plus que le mien.
- Alors, la mémoire te revient, ils ont été assassiné aujourd'hui.
Sa pâleur prenait place soudain à la rougeur, certainement de colère.
- Je n'y arrive pas à le croire, commençait-il à dire.
- Parle, sinon tu risques de les rejoindre dès que tu sors de prison.
- Je ne sais pas qui a fait ça. Tout ce que je sais, c'est que dès ma sortie de prison, j'aurai eu ma part. Takechi est encore venu me voir hier.
- Où sont les bijoux du casse ?
- J'en sais rien.
- As-tu parlé à un copain de cellule ?
- Non. Maintenant, laissez moi tranquille.
Il quittait la pièce les points serrés. A mon avis, il en savait plus ce qu'il nous avait dit. Soudain, son téléphone se mettait à sonner. C'était Shika, il lui communiquait l'adresse de la femme de Koshito. Arrivés sur les lieux, nous sonnions mais pas de réponse. Puis, nous entendions un cri et un gros fracas. Nous sortions nos armes et Naruto défonçait la porte. Nous entrions dans la maison avec prudence, et nous voyions une femme à terre, se tenant le cou.
- Ça va, disait Naruto en courant vers elle.
- Oui, il est passé par la fenêtre.
Je fonçais à la fenêtre et apercevais au loin une silhouette se déplacer en courant. Je sautais et courais vers elle. Cela allait faire deux fois que je courais aujourd'hui. Fais chier !! Je traversais les jardins et zigzaguais entre les passants. L'homme tournait dans une rue et en arrivant à cette endroit, je ne voyais plus rien, il avait totalement disparut. Et merde, loupé !!
Pov Shikamaru
Alors que je prenais un petit café bien mérité, Kiba venait vers moi avec un chariot remplit de cartons.
- Qu'est-ce que c'est ?
- L'affaire du cambriolage d'il y a dix ans.
Oh bon sang la galère !! Qu'est ce qui m'avait prit de faire flic ? Rien que de voir ces cartons, cela me donnait envie de dormir.
- Je vais t'aider.
- Encore heureux !!
Puis, nous apercevions Naruto et Sasuke avec une femme. Elle avait l'air en état de choc. Le commissaire l'invitait dans son bureau et nous voyions Naruto et Sasuke venir vers nous.
- Qui c'est la femme?
- Celle de notre troisième homme. Elle s'est faîte agressée, nous sommes arrivés juste à temps. Par contre, l'homme s'est échappé.
- En tout cas, je peux vous dire qu'il court vite, ajoutait Sasuke.
- Qu'est ce que c'est ? Me demandait Naruto en voyant les cartons.
- L'affaire du cambriolage, vous nous aidez à chercher ?
- Rien que de voir ces cartons, j'ai le vertige, se plaignait Naruto.
- Cela ne te fera pas de mal, répliquait Kiba. Fini les ballades, au tour de la paperasserie.
Il s'asseyait avec un air dépité et commençait à ouvrir un carton. Sasuke en prenait également un et nous commencions à fouiller. Quinze minutes après, nous voyions le commissaire et la femme sortir du bureau. Un policier en uniforme l'accompagnait jusque dehors, puis le chef arrivait vers nous.
- Les gars, j'ai placé Mme. Koshito dans le motel en face pour la protéger. Il pourrait encore tenter de la tuer. Malheureusement, elle n'a pas vu son visage, il portait une cagoule.
- Elle va être surveillée vingt quatre heure sur vingt quatre ? Demandait Kiba.
- Oui, alors trouvez vite quelque chose. Sinon elle pourrait être la prochaine victime.
Sur ces mots, il quittait la pièce et on se remettait au boulot. Une heure après, Sasuke tenait enfin une petite piste, et me tendait un papier.
N'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (54.80.185.137) si quelqu'un porte plainte.
Cela commençait à me souler cette recherche. Soudain, je voyais Sasuke donner un papier à Shikamaru.
- Qu'est ce que c'est ? Demandais-je en regardant Shikamaru se lever d'un bond et se diriger vers le bureau du commissaire.
- C'est une feuille de déposition, donnée par Mme. Koshito lors de son arrestation pour le bijou volé, racontait Sasuke. Et dessus, elle se présente comme Mlle. Kamichi, épouse Koshito.
- Kamichi, comme la première victime.
- Exact, certainement sa s½ur.
- Pourquoi ne pas l'avoir dit ?
- Qui sait, elle cachait peut-être quelque chose.
Le lieutenant Nara revenait avec le commissaire, qui me tendait une commission rogatoire.
- J'ai eu un appel, la femme s'est enfuie de l'hôtel par la fenêtre.
- Cela confirme nos soupçons, disais-je.
- Bien, je veux que vous me la retrouvez. Essayez d'abord chez elle.
- Vous pensez qu'elle a un lien avec les deux meurtres, demandait Kiba.
- J'en sais rien, pour ça, il faut me la retrouver. Naruto , Kiba et Sasuke, vous allez chez elle. Shika, tu me fais des recherches sur son passé. Je veux tout savoir.
Je prenais ma veste et filais à toute allure, suivis de Sasuke et de Kiba. Je frôlais les quatre vingts dix kilomètre heure en ville. Sa maison était en banlieu. Sasuke enlevait le gyrophare afin de ne pas attirer l'attention. Je garais la voiture non loin de son domicile.
- Sasuke, tu prends par l'arrière. Kiba et moi passerons par la porte d'entrée.
Alors que l'Uchiwa contournait la maison, je toquais à la porte, Kiba à mes côtés.
- Mme. Koshito, vous êtes là ? Police.
Pas un bruit, Kiba regardait par la porte vitrée et la moustiquaire. Il tournait la poignée de la porte qui n'était pas fermée à clef. Elle devait être là. Tout à coup, nous entendions...
Pov Sakura
Je n'arrivais pas à dormir, cela faisait une heure, que je me retournais et retournais dans le lit. J'en avais marre, je me levais et me dirigeais vers le salon où je voyais Hinata entrain de desservir la table.
- Tu veux manger quelque chose ?
- Non merci, j'ai pas faim.
Tout à coup, mon ventre se mettait à gargouiller.
- Tu es sûr que tu ne veux rien ?
- Ben, maintenant que tu me le dis, je veux bien.
Elle souriait et me servait des... ramens. Elle avait déteint sur Naruto.
- C'est délicieux, disais-je en les mangeant.
- Merci.
Puis, elle reprenait un visage sérieux.
- Alors, que vas-tu faire?
- Que veux-tu dire par là?
- Demain, lorsque tu vas aller au boulot. Tu risques de le croiser, c'est même sûr.
- Et alors ! Je ne vais pas lui sauter dessus. Bien au contraire, je vais faire comme-ci on ne se connaissait pas.
- N'oublie pas qu'il a une influence dans la société. Il peut te demander dans son service et essayer de te reprendre.
- Je ne me laisserai pas faire. S'il me créait des problèmes...
- Naruto sera ravi de prendre ta plainte.
- Je ne veux pas le mêler à mes affaires, je les règlerai moi-même.
Je regardais la pendule qui indiquait quinze heure. J'avais dormis tant que ça !! Soudain, on sonnait à la porte et Hinata regardait par le judas.
- C'est un livreur, et devine ce qu'il a dans les bras ?
- Je donne ma langue au chat.
Elle ouvrait la porte et là je voyais un énorme bouquet de roses rouges. Le livreur décalait sa tête pour qu'on le voit.
- Haruno Sakura, c'est bien ici ? Demandait-il.
- Oui, disais-je en venant vers lui.
- J'en suis heureux, tenez.
Il me donnait le bouquet et s'en allait. J'examinais le bouquet et voyais une carte. Je la prenais et la lisais.
- Alors qu'est-ce qu'elle dit ? Me demandait Hinata à moitié excitée.
- ''Sakura ma chérie, reviens, je t'en prie, pardonne moi, je suis un idiot, je t'aime à la folie''. Kyo.
- C'est romantique.
- En tout cas, je suis d'accord avec lui.
- Quoi ?
- C'est un idiot.
Non mais, qu'est-ce qu'il croyait ! ? Qu'il allait m'avoir avec un gros bouquet de roses rouges ? On ne m'achetait pas comme ça.
- Tiens, lui tendais-je le bouquet. Jette-les.
- De si jolies roses.
- Fais-en ce que tu veux alors, t'a qu'à en faire des pots pourris.
J'allais à la fenêtre, et qui je voyais adossé contre sa voiture ?
Pov Sasuke
Alors que je me rendais derrière la maison, j'aperçus Mme. Koshito sortir par la porte de la cuisine.
- Vous allez quelque part Madame Koshito ?
- Laissez moi partir, sinon.
- Sinon quoi ?
- Ils vont me tuer.
- Qui ?
- Je ne sais pas. Ils ont déjà essayé une fois, ils vont recommencer.
Kiba et Naruto arrivaient derrière elle, soulagés.
- Heureusement que je t'ai envoyer derrière, se complimentait-il.
- Vous allez nous suivre au commissariat, disait Kiba en sortant ses menottes.
- Ce n'est pas la peine de lui mettre les menottes, intervenais-je en prenant le bras de Mme. Koshito pour l'emmener vers la voiture.
Alors que nous nous dirigions vers la voiture, un coup de feu retentissait et une balle atterrissait contre un arbre.
- COUCHEZ-VOUS, criais-je.
On se réfugiait derrière la voiture, mais les balles fusaient sur la carrosserie. Les vitres éclataient, les pneus également.
- Mais, ils tirent d'où ces cons, s'affolait Kiba.
- Je ne sais pas, répondais-je. Mais vu les trajectoires des balles, c'est juste devant, et le seul moyen de s'en sortir est de rester cacher.
- Ils l'ont fait, je vous l'avez dit.
Mme. Koshito se mettait à pleurer. Je levais ma tête vers le ciel et là, je voyais dans le reflet du réverbère, la silhouette de nos agresseurs. Quelle chance !!
- Ils sont deux, leur signalais-je. Regardez.
Je levais mon doigt vers le haut et leur indiquais le réverbère.
- Je vois, disait Naruto.
- Qu'est ce qu'on fait maintenant ? Demandait Kiba.
Comment voulez-vous que je réfléchisse correctement lorsqu'il y avait des balles qui atterrissaient sur la voiture ?
- Je vais essayer d'atteindre ma radio pour demander du renfort, trouvait Naruto en ouvrant la porte passager.
Il atteignait son objectif et demandait du renfort. ''grouillez-vous''. Une fois le message passé, on sortait nos armes. Je passais la main sur le capot et tirais plusieurs balles, suivit de Naruto et de Kiba. Les individus se cachaient derrière leur voiture. Je rechargeais vite fait mon arme et recommençais à tirer. Tout à coup, nous entendions des sirènes au loin. Il était temps !
Nos ennemis prenaient la fuite, mais Naruto tirait dans la jambes de l'un d'entre eux et il s'écroulait à terre en lâchant son arme. Le deuxième ne prenait même pas la peine de l'aider et s'enfuyait comme un lâche. Je me précipitais vers l'homme qui était à terre, éloignais son arme avec mon pied, et tendait la mienne devant lui.
- Tu bouges et j'explose ton autre jambe.
Il m'obéissait et ne tentait rien. Kiba le retournait, lui mettait les menottes puis l'aidait à se relever. J'entendais Naruto appeler une ambulance et je regardais Mme. Koshito monter dans une voiture de police. Une fois le suspect en main des collègues en uniforme, Kiba et moi rejoignaient Naruto, qui avait l'air dépité.
- Ma voiture, disait-il en l'examinant. Elle sortait du lavage.
En effet, sa voiture était truffée de balles. Paix à son âme, elle était bonne pour la casse.
- On va t'en donner une autre.
- Ça va faire la deuxième ce mois-ci. Le commissaire va taper une crise de nerf.
- Mieux vaux que ce soit la voiture qui ait prit les balles, que nous.
Naruto poussait un énorme soupir. Une fois le suspect dans l'ambulance et Kiba à ses côtés, une voiture de police nous accompagnait jusqu'au commissariat.
- Pour mon premier jour, c'est plutôt mouvementé.
- Oui, tu es plutôt doué.
- Je te retourne le compliment. Joli tir sur le suspect.
- C'est dû à des mois d'entraînement intensif.
- On devrait alors s'organiser un petit tournois entre nous deux au stand de tir.
- Quand tu veux, je relève le défi.
Je ne savais pas pourquoi je souriais. J'étais un peu étonné, car cela ne m'arrivait pas beaucoup ces temps-ci.
Pov Shikamaru
J'aperçevais Mme Koshito entrer dans la salle d'interrogatoire avant que le commissaire vienne me voir.
- Il y a eu une fusillade chez elle, elle a faillit encore y passer.
- Et les autres ? Demandais-je.
- Ils vont bien, ils ont tiré sur un suspect et Kiba l'accompagne à l'hôpital. Par contre je ne peux pas en dire autant de la voiture de Naruto. Elle est truffée de balles, il paraît. Cela fait la deuxième en un mois. Tu as des infos sur Mme Koshito.
- Pas grand chose, juste qu'elle s'est mariée peu de temps avant le cambriolage et que malgré le fait de savoir que son mari et son frère ont commis ce cambriolage, elle l'a toujours soutenu et rendu visite à la prison. Pas plus tard qu'hier d'ailleurs. Aucun PV, aucune effraction, rien.
Tout à coup, nous apercevions Sasuke et Naruto arriver. Pauvre blondinet, il avait l'air dépité. Sûrement à cause de sa voiture.
- Chef, ma voiture a eu encore un petit accident.
- C'est pas grave, du moment que vous êtes en vie. Par contre, il faudra attendre un moment pour la remplacer.
- Combien de temps ? Demandait-il avec impatiente.
- Un moment, bon je vais interroger Mme Koshito. Vous trois, examinez là à travers la vitre.
On approuvait et nous nous dirigions vers la salle d'observation. Juste une petite lumière éclairait la pièce. Le commissaire s'asseyait devant elle.
- Vous voulez un avocat ?
- Pourquoi ? Je n'ai rien fait !!
- Madame Koshito, pourquoi ne pas m'avoir dit que Takechi Kamichi était votre frère ?
Elle baissait la tête et ne répondait pas. Elle avait vraiment peur.
- Vous ne savez vraiment pas qui voulez vous tuer ?
- Je n'ai pas vu son visage, juste qu'il avait un petit nuage rouge sur son avant bras.
- Un petit nuage rouge.
Pov Sasuke
Un petit nuage rouge. L'Akatsuki, encore eux. Cette fois-ci, je ne lâcherai rien, je les traquerai jusqu'au dernier. Ils paieront, pour le meurtre de mon père.
N'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (54.80.185.137) si quelqu'un porte plainte.
Un peu au nord de la ville, dans une somptueuse villa, une voiture s'arrêtait devant la grille. Un homme s'y approchait.
- Où est Hoshiro ?
- T'occupe et ouvre la grille.
L'homme soupirait et faisait signe d'ouvrir la grille. La voiture pénétrait dans la propriété par une grande allée bétonnée, qui menait à la villa. Il sortait de sa voiture et entrait dans le hall d'entrée. Il empruntait les escaliers et croisait...
- Salut Kisame, le boss est là ?
- Dans la pièce entrain de méditer. Où est Hoshiro ? As-tu eu la femme ?
- C'est ça le problème.
Il frappait à la porte et après avoir été invité, entrait dans la pièce, qui était éclairée de quelques bougies. Un homme aux cheveux orange et des piercings sur le visage était debout devant la cheminée.
- Chef.
- Amatsu, j'espère que tu as ce que je t'ai demandé, demandait-il sans se retourner.
- Et bien ! Il y a eu un petit problème.
- Je t'écoute.
- On s'apprêtait à kidnapper la fille, mais des flics sont arrivés avant nous et....
- Des flics !!
- Oui, on a essayé de riposter, hésitait-il à lui révéler. Mais on n'a pas réussi et après, il y a eu les renforts alors, on s'est sauvé, mais Hoshiro a reçut une balle dans la jambe et est resté sur place....
- Tu veux dire que Hoshiro est entre les mains des flics.
- O-oui,...disait-il hésitant.
L'homme aux cheveux orange se retournait très en colère. S'il avait pu tuer Amatsu sur le champ avec ses yeux, ce dernier serait mort sur place.
- Une telle erreur doit-être puni.
- Qu'est ce que je peux faire pour me racheter Pein ?
Amatsu se courbait devant lui en signe de respect. Pein avançait et passait à côté de lui. Il se servait une coupe de champagne et l'avalait d'un trait.
- Si Hoshiro parle, nous risquons d'être très embêtés.
- Il ne parlera pas.
- S'il avait déjà parlé, il y aurait déjà les flics autour de la maison. Mais je ne veux courir aucun risque. Et pour cela, je veux que tu le fasses taire, à tout jamais. Ce sera la seule façon de te racheter.
Amatsu se relevait surpris par la demande de Pein. Mais, n'ayant pas le choix, il acceptait. Il se dirigeait vers la sortie, mais alors qu'il allait franchir la porte....
- Si tu échoues, ce ne serait pas la peine de revenir ici. Je te conseillerai même de partir au loin.
Amatsu ne disait rien et s'en allait avec sa dernière chance. Kisame arrivait dans la pièce.
- Je suis surpris que tu ne l'ai pas tué.
- Kisame, je voudrais que tu le suives. Si jamais il échoues, tues le, ainsi que Hoshiro. Je ne veux pas de témoin derrière moi.
- Je me disais aussi, et que fait-on de la femme ?
- Pour l'instant rien. On attend que son mari sorte de prison.
Tout à coup, un homme pénétrait dans la pièce. Il était blond aux yeux bleu.
- Pein, les bombes sont posées et on m'a dit que Hoshiro se trouve à l'hôpital central, à côté de la gare. Mais, il est étroitement surveiller.
- Informe Amatsu, Deidara, il va s'en charger. Je compte sur toi Kisame.
- Au fait, le nouveau membre se présente demain.
- Tu as fais ta petite enquête.
- Oui, il est clean.
- D'accord, mais je me méfie quand même, tu ne le lâcheras pas d'une semelle.
Kisame confirmait et sortait de la pièce en compagnie de Deidara.
- J'aurais bien voulu voir mon feu d'artifice ?
- Deidara, la ferme !!
- Tu es jaloux de mon art.
- Laisse moi tranquille, j'ai du travail à faire.
Kisame le laissait en plan en quête de sa mission.
Pov Kiba.
Le suspect était dans sa chambre, entouré de deux policiers en faction devant la porte. Je devais surveiller les alentours et les personnes qui me semblaient suspects. Ordre du commissaire.
Début flash back
- Commissaire, nous avons eu un petit problème. Nous avons Mme Koshito, mais on s'est fait tirer dessus.
- Vous allez bien ?
- Oui, enfin, la voiture de Naruto est truffée de balles, elle est bonne pour la casse.
- Ça va faire la deuxième ce mois-ci.
- Un suspect a été touché à la jambe, l'autre s'est enfui.
- Je veux que tu l'accompagnes à l'hôpital avec deux autres policiers et que tu ne le lâches pas. Je veux aussi que tu ouvres l'½il. On peut essayer de le faire évader ou de le tuer.
- Très bien commissaire.
- Je viendrais l'interroger moi-même.
Fin du flash back
Une heure après, le commissaire arrivait avec Shikamaru.
- Il n'est toujours pas réveillé ?
- Non commissaire.
- Shikamaru va prendre la relève. Va chez toi et repose toi. Tu reviendras vers neuf heures demain matin.
- D'accord, et Mme Koshito, a t-elle parlé?
- Tout ce qu'elle a dit, c'est qu'ils avaient des nuages rouges sur l'avant-bras. Sasuke a mentionné leur bande, l'Akatsuki.
Pov Naruto.
Au pénitencier, nous attendions Yuri Koshito. Sasuke était pensif.
- A quoi penses-tu ?
- Hn...
- A l'Akatsuki ?
Il ne disait rien, me donnant sa réponse, je commençais à le percer. Puis, Yuri Koshito entrait dans la salle.
- Oh non !! Encore vous, je vous ai déjà dit que je ne savais rien, alors laissez moi tranquille.
- Ta femme a faillit se faire tuer deux fois aujourd'hui, l'informait sèchement mon coéquipier.
- Sasuke !!
- Alors, tu ferais mieux de cracher le morceau, continuait-il.
Yuri Koshito était comme pétrifié. Sasuke était allé un peu fort.
- Quoi ? Disait-il en serrant les poings.
- Que sais-tu sur l'Akatsuki ?
- Rien du tout.
- ARRETE DE NOUS PRENDRE POUR DES IMBECILES.
- Sasuke, ça suffit, le prévenais-je.
Sachant que j'avais raison, il se calmait et s'éloignait de lui.
- Désolé, je ne dirais rien.
Il quittait la pièce et nous laissait encore bredouille. Nous sortions de la prison, assez déçu puis nous rejoignions la voiture de Sasuke. Vivement la mienne !!
- Désolé, pour mon comportement. Je ne sais pas ce qui m'a prit.
- Parle moi de l'Akatsuki.
Il commençait à rouler et me racontait.
- Mon père était le commissaire principale de Tokyo.
- Mais oui, voilà pourquoi j'avais déjà entendu parlé de Uchiwa.
- Il traquait les vols et les crimes, il était respecté de tous. Un jour, alors qu'il était dans son bureau, une bombe explosa, le tuant sur le coup, et par la même occasion deux autres personnes.
- Je suis désolé.
- Ça va faire un an, dans un mois. J'ai promis sur sa tombe de traquer le responsable et ça va faire un an que je cours après l'Akatsuki.
- Comment sais-tu que c'est eux ?
- Avant de mourir, mon père m'a parlé d'une organisation criminel, qui opérait en douce. Vol, meurtre, corruption, attentat, aucun indice, aucun suspect, aucun témoin, rien. Jusqu'à ce jour, où mon père a capturé un des leurs. Le mec a tout juste eu le temps de prononcer le nom de l'Akatsuki, qu'il s'est fait descendre. Le lendemain, c'était au tour de mon père. Depuis ce jour, je mène ma petite enquête.
- Si tu veux, je t'aiderai à les poursuivre.
Il me souriait et me remerciait. Nous arrivions ensuite chez les Koshito. Le commissaire voulait qu'on fouille cette maison à la recherche du moindre indice.
- Tu veux qu'on attende les renforts, me demandait-il.
- Pourquoi faire ?
Nous avancions vers la maison quand tout à coup.
- NARUTO, ATTENTION, criait Sasuke en me faisant reculer.
BOOMMMMMM
L'explosion de la maison nous faisait projeter quelques mètres en arrière et nous tombions lourdement au sol. Oh mon dieu !! Je n'arrivais pas à me relever. S'il n'y avait pas eu Sasuke... Je me retournais et le voyais à terre, et... il ne bougeait plus !!
N'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (54.80.185.137) si quelqu'un porte plainte.
Alors que nous allions devant la maison des Koshito, je voyais Naruto qui s'y approchait. Il y avait quelque chose qui clochait, je regardais sur la pelouse et là j'aperçus un objet qui ne mettait pas inconnu.
- NARUTO, ATTENTION, lui disais-je en le faisant reculer.
Mais c'était trop tard, l'explosion de la maison nous faisait projeter quelques mètres en arrière. Nous tombions lourdement au sol, c'était encore un coup de l'Akatsuki. Je restais à terre car j'étais un peu étourdis. J'avais mal à la tête, et au dos. J'entendais Naruto qui m'appelait, mais je ne me relevais pas. Il venait vers moi et m'aidait à me redressais avec le peu de force qui lui restait.
- Sasuke, ça va ? Me demandait-il inquiet.
- Ouais, j'ai connu mieux, lui répondais-je en me mettant debout.
Nous regardions du côté de la maison et la voyais en feu, l'explosion avait été puissante, nous avions eu beaucoup de chance. Puis, j'apercevais des personnes sortir de leur maison.
- Vous allez bien, nous demandait un homme d'une quarantaine d'année.
- Ça va, merci !!
J'allais vers ma voiture, prenais le combiné de ma radio et appelais les pompiers. Quelques minutes plus tard, des collègues arrivaient et bouclaient le périmètre.
- Si Hinata me voit comme ça, disait Naruto en se dépoussiérant. Elle risquerait de faire une crise cardiaque.
- Moi, ce serait plutôt ma mère.
Pendant que les pompiers essayaient d'éteindre le feu, nous nous faisions soigner dans une ambulance. On me mettait un pansement sur ma joue et m'examinait de fond en comble. Pareil que Naruto, sauf qu'on lui mettait le pansement sur le front. Tout à coup, nous voyions le commissaire arriver en trombe.
- Vous allez bien les gars ?
- Oui commissaire, juste une petite plait à la tête, rien de plus.
- Bien, heureusement, ça aurait pu être pire.
- C'est grâce à Sasuke.
- Il y a un autre problème, avouait le commissaire. Les deux bijouteries ont sauté également faisant aux moins 6 blessés, des passants qui passaient à proximité.
- Ça va compliquer notre enquête.
- Vous allez rentrer chez vous, vous reposer. Je veux vous voir demain en pleine forme.
Nous acquiescions et descendions de l'ambulance pour nous diriger vers ma voiture. Tout à coup, je remarquais sur le bitume un objet que je reconnaissais tout de suite.
- Qu'est ce que c'est ? Me demandait Naruto.
- L'objet de l'explosion, expliquais-je en lui montrant un oiseau en argile. Il était positionné sur la pelouse. A l'intérieur il y a des capteurs de mouvement. Il suffit que quelqu'un passe à côté pour qu'elle communique à un autre objet en argile qui se trouve à l'intérieur de la maison. Ce qui déclenche l'explosion.
- Tu as déjà eu une expérience ?
- Oui, l'année dernière et j'y avais perdu deux collègues.
Après avoir donné l'objet au commissaire afin qu'il l'examine, je raccompagnais Naruto chez lui. Nous avions vraiment échappé à la mort.
Pov Naruto.
Alors que nous arrivions chez moi, qui je distinguais adossé à sa voiture ? Cet enfoiré de Kyo. Ça tombait bien, j'avais une ou deux choses à lui dire. Je descendais de la voiture et allait à sa rencontre.
- Qu'est ce que tu fais là ?
- Laisse moi Naruto, j'attends Sakura.
- C'est toi qui devrait la laisser tranquille. Tu n'as pas honte. Je ne sais pas ce qui me retient de t'en coller une.
- Fais le et je porterai plainte.
- J'avais dis à Sakura de te laisser tomber. Elle aurait dû m'écouter.
- Tu m'as jamais aimé Naruto. Tu as tout fais pour qu'on se sépare.
- C'est toi qui l'a trompé.
- Va te faire voir.
Cette fois s'en était de trop, je lui collais mon poing en plein dans le visage. Il reculait jusqu'à sa voiture tellement c'était violent. Sasuke venait vers moi pour m'empêcher de lui en mettre une autre.
- Arrête, il n'en vaut pas la peine.
- Dégage de devant chez moi.
- Mais tu es malade, tu a failli me péter le nez.
- Tu ferais mieux de partir, lui conseillait Sasuke.
- Toi la ferme, je t'ai pas causé.
- T'a dis quoi là, disait Sasuke en faisant un pas vers lui.
Kyo reculait sous le regard noir de mon coéquipier. Je mettais ma main devant lui pour l'arrêter, le connaissant, il en aurait fait de la chair à pâté. Il entrait dans sa voiture et s'en allait. Si je le revoyais, je le bouclerai pour harcèlement.
- C'était qui ce type ?
- Kyo, l'ex d'une amie. Elle s'est réfugiée chez nous ce matin en larmes, car il l'a trompé, un vrai con.
- Je veux bien te croire.
- Bon, tu viens à la maison manger un morceau ?
- Non merci, je dois rentrer, une autre fois peut-être.
- Tu viens me chercher demain matin et tu prendras un café.
- Avec plaisir, à demain Naruto.
- A demain, et merci encore de m'avoir sauvé la vie. C'est la première fois que j'ai un coéquipier à ma hauteur.
Il me souriait, me serrait la main, puis grimpait dans sa voiture avant de s'en aller. Je m'entendais bien avec lui en fin de compte. Mais il avait l'air mystérieux. Je franchissais la porte de chez moi et trouvais Sakura sur le canapé devant la télé, dos à moi.
- Mais ne t'accroche pas à lui, il va finir par te tromper, laisse le tomber, disait-elle devant une scène romantique.
- Salut Sakura.
Elle se retournait vers moi et m'examinait.
- Mais, qu'est ce qui s'est passé ?
- AHHHHH !!
Je me retournais et voyais Hinata avec un bac à linge dans ses mains. Elle le lâchait et venait vers moi.
- Tu es blessé, tu as mal où ? Qu'est ce qui s'est passé ?
- Stop Hinata, l'interrompais-je en lui prenant les mains. Je vais bien, arrête de stresser. C'est pas bon pour le bébé.
- Comment veux-tu que je ne stresse pas lorsque je te vois dans cet état ?
- J'ai juste eu un petit accident, rien de plus.
- Avec la voiture ?
Comment lui dire sans qu'elle crise ? La manière douce ou direct ?
- La voiture est truffée de balles, et j'ai échappé à une explosion qui m'a projeté quelques mètres en arrière. J'ai atterri lourdement au sol et je me suis pris un petit éclat dans le front, rien de plus.
Je les voyais, leur bouche grande ouverte. Tout à coup, Hinata tombait dans les pommes, la manière direct n'était pas une bonne idée.
Pov Sasuke.
Après avoir garé ma voiture au parking privé de la résidence, je montais dans l'ascenseur et appuyais sur le chiffre six et dernier étage. Je me dirigeais vers ma porte numéro soixante quatre et là, je me rendais compte, que la porte d'entrée était entrouverte. Je prenais mon arme, et entrais à l'intérieur. J'entendais des bruits qui provenaient de la cuisine et m'y précipitais avant de brandir mon arme vers ce cambrioleur.
- S'il te plaît ne me tues pas, Sasuke.
- Mais, que fais-tu ici, Suigetsu ?
Je mettais la sécurité de mon arme, regardais autour de moi et remarquais la porte du frigo grande ouverte.
- Tu pourrais la fermer, disais-je en la claquant. C'est comme la porte d'entrée, tu ne sais pas les fermer.
- Désolé, me disait-il en mangeant une cuillère de yaourt.
- Mais, ce sont mes yaourts, braillais-je en ouvrant le frigo et en y découvrant qu'il n'y en avait plus. Tu as tout manger.
- Désolé, je ne peux pas y résister, c'est trop bon.
- Tu as de la chance d'être mon ami de lycée.
Je m'asseyais sur une chaise devant lui. Puis, il brandissait sa cuillère vers moi.
- Mais, qu'est ce que tu as sur le visage ?
- Rien, j'ai juste échappé à une explosion.
- Une explosion !! C'est l'Akatsuki ?
- Oui, confirmais-je en baissant les yeux. J'avais pas entendu parlé d'eux depuis...
- Depuis ce fameux jour où ton père a été tué ? Terminait mon ami.
J'acquiesçais avec la tête, me levais et pris une canette de soda. Je me mettais à la fenêtre et la buvais.
- Tu vas les traquer jusqu'où ?
- Jusqu'au bout du monde et jusqu'au dernier. Ainsi, je pourrai alors venger la mort de mon père et avoir l'esprit tranquille.
Tout à coup, mon téléphone se mettait à sonner. Je l'attrapais dans ma poche et reconnaissais ce numéro.
- Oui maman.
- Tu es chez toi ?
- Oui, avec Suigetsu.
- Tu viens dîner à la maison.
- Je ne sais pas maman, je suis...
- Ce n'était pas une question, tu vas venir un point c'est tout.
- Mais, je....
- Tu ne discutes pas, et tu obéis. A tout de suite.
Elle me raccrochait presque au nez. Il y avait des fois, où elle me faisait peur. J'avais intérêt à aller dîner chez elle.
- Désolé, je dois aller chez ma mère.
- C'est pas grave, je dois y aller de toute façon.
Je l'accompagnais jusqu'à la porte et lui serrais la main.
- A bientôt, et fais très attention à toi, me prévenait Suigetsu.
- T'inquiète, salut.
Je fermais la porte et me dirigeais vers la salle de bain pour y prendre une bonne douche. Vingt minutes plus tard, je partais en direction du manoir Uchiwa. J'y arrivais après trente minutes de route. Le manoir, qui appartenait à la famille Uchiwa depuis des générations était un peu en dehors de la ville. J'y vivais plus depuis déjà quatre ans. Cette grande baraque froide commençait à me peser sur le système.
Alors que j'arrivais devant la maison, la grille s'ouvrit automatiquement. Je roulais doucement sur les gravillons qui menait au manoir. Je remarquais soudain une voiture de sport, garée juste devant l'entrée. Je descendais de la mienne, et l'examinais. A qui pouvait-elle bien appartenir ? Je sonnais à la porte et quelques secondes plus tard, quelqu'un venait m'ouvrir.
- Bonsoir Monsieur, me saluait Ayoi.
- Bonsoir Ayoi.
Il avait déjà la cinquantaine et était à notre service depuis déjà vingt ans.
- Votre mère vous attend dans le salon.
- Merci, disais-je en lui donnant ma veste et en me rendant au salon.
- Sasuke !!
Ma mère se précipitait vers moi avec son sourire éternel. Ma mère était toujours restée très belle, malgré le fait qu'elle avait la cinquantaine. Elle voulait m'embrasser le front mais elle remarquait mon pansement sur ma joue.
- Qu'est ce qui t'est arrivé ? S'affolait-elle.
- C'est rien maman.
- C'est rien, répétait-elle effarée. Tu te fous de moi. Un de ces jours, on va sonner à la porte pour m'apprendre ton décès. Je n'ai pas envie de te perdre toi aussi.
- Ne t'en fais pas maman, je vais bien.
- Bon, abdiquait-elle. Viens voir qui m'a rendu visite.
Nous marchions au milieu du salon et dans l'ombre, j'apercevais un homme.
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J'entendais la sonnette et m'y précipitais, mais Sasuke déboulais dans le salon. Je me dirigeais vers lui, il était toujours aussi beau. Je voulais l'embrasser sur le front, mais...
- Qu'est ce qui t'est arrivé ?
- C'est rien maman.
- C'est rien. Tu te fous de moi. Un de ces jours, on va sonner à la porte pour m'apprendre ton décès. Je n'ai pas envie de te perdre toi aussi.
- Ne t'en fais pas maman, je vais bien.
- Bon, disais-je en abdiquant. Viens voir qui m'a rendu visite.
Je l'entraînais au milieu du salon, et là il s'arrêtait d'un coup.
- Tu n'as pas du tout changé en six mois Sasuke.
- Itachi, disait-il avec un goût amer dans la bouche. Tu daignes enfin te montrer depuis six mois.
Ils étaient l'un en face de l'autre et se défiaient du regard. Je n'aimais pas les voir comme ça.
- Alors petit frère, félicitation pour ton nouveau grade.
- Tu as disparu pendant six mois et tu reviens comme si de rien n'était.
- J'ai une bonne raison.
- Je m'en fiche de tes raisons, tu nous as laissé, tu as laissé maman toute seule. Si je n'étais pas là...
- Je t'ai dis que j'avais une bonne raison, haussait la voix Itachi.
- JE T'AI DEJA DIS QUE JE M'EN FICHE DE TES RAISONS.
- Sasuke, intervenais-je. Arrête de crier sur ton frère.
Il soufflait et se dirigeait vers la sortie.
- Où vas-tu Sasuke ?
- Je rentre chez moi, je reviendrai lorsqu'il ne sera plus là.
- Tu restes là, ordonnais-je.
Je lui faisais mon regard de tueurs et il cédait en s'asseyant sur le fauteuil. J'avais gagné une bataille sur lui. Itachi se servait un verre de scotch et s'asseyait sur le canapé.
- T'en veux un ?
- Non, lui répondait Sasuke froidement.
- Tu as arrêté l'alcool car tu as encore trouvé une fille dans ton lit, dont tu ne connaissais pas le nom ?
- Quoi ?
Je regardais Sasuke, qui détournais ses yeux remplis de colère vers son frère.
- Tu vas me le payer Itachi.
- Quand est ce que tu vas être raisonnable, et te poser un peu ? J'ai envie que tu te maris et j'aimerai avoir des petits enfants.
- Pour le mariage, c'est pas pour maintenant, et les petits enfants encore moins. Tu n'as qu'à demander à Itachi de t'en faire.
- C'est à toi qu'elle a demandé, pas à moi.
- La ferme, aboyait Sasuke.
- Ne parle pas comme ça à ton frère.
- Je m'en fiche.
- Ne me parle pas de cette façon.
- Le dîner est servit madame, disait la servante.
Je me calmais un peu et la remerciais. Puis, on s'asseyait autour de la table déjà bien garnit.
Pov Sasuke
C'était pas vrai, il avait fallut qu'il revienne et qu'on s'engueule. Je mangeais en silence, et détournais le regard plutôt vers ma mère. L'ambiance était vraiment pesante.
- Alors petit frère, comment trouves-tu ton nouveau commissariat et tes nouveaux coéquipiers ?
- Ça ne te regarde pas.
Je le voyais soudain sourire, qu'est ce qu'il y avait de drôle ?
- Qu'est ce qui te fait rire ?
- J'essaye d'être aimable, mais tu ne fais aucun effort de ton côté.
- Pourquoi serais-je aimable avec toi ?
- Vous n'allez pas recommencer, disait ma mère en frappant la table.
Je me taisais et prenais une bouchée de riz. Après le dîner qui était pesant et silencieux, j'allais sur le balcon pour prendre une bonne bouffée d'oxygène.
- Petit frère.
- Je n'ai pas envie de te parler.
- Ce que j'ai à te dire est très important.
- Je n'ai pas envie de l'entendre.
- Si jamais il m'arrive quelque chose, j'aimerai que tu prennes soin de maman.
Je le regardais surpris. Qu'est ce qu'il cachait ?
- Qu'as-tu fais pendant six mois ?
- C'est le flic ou le petit frère qui parle ?
- Les deux.
- Je ne peux rien te dire. Mais, je veux que tu me fasses confiance.
- Confiance !! Pourquoi veux-tu que je te fasse confiance ?
- De la même manière où tu me faisais confiance, lorsque nous étions petits, où nous avions passé de bon moments.
- Tu as raison de l'employé au passé.
- Tu te trompes à mon sujet, disait-il en appuyant ses deux mains sur la rambarde. J'aimerai te parler de tout, mais je ne peux pas, secret défense.
Je le regardais encore plus surpris, je ne comprenais plus rien.
Pov Naruto.
Alors que je sortais de ma douche, je voyais Hinata arriver avec des vêtements propre. Elle avait l'air inquiète.
- Qu'est ce qu'il y a ?
- J'ai cette sensation bizarre.
- Quelle sensation ?
- La peur.
- Peur de quoi ?
- De te perdre. Je veux que notre enfant connaisse son père.
Je la collais contre moi et elle m'entourait de ses bras, en commençant à pleurer. Je lui relevais la tête et l'embrassais sur le front.
- Ne t'inquiète pas. Je ne vais pas me laisser tuer aussi facilement.
Je lui séchais les larmes et l'embrassais, en lui disant que je l'aimais. Puis, avec la fatigue, je m'affalais sur le lit. Je prenais Hinata dans mes bras et m'endormais paisiblement.
Pov Sakura
Alors que je dormais profondément, j'entendais le réveil qui retentissait. Je l'éteignais doucement et lisais huit heure. Je m'étirais et me levais. Je croisais Naruto dans le couloir qui était en short et torse nu. Il était trop canon, Hinata avait de la chance.
- Salut, bien dormis ? Me demandait-il.
- Comme un gros bébé.
J'allais dans la salle de bain, et prenais une bonne douche. Je faisais comme chez moi, car ce n'était pas la première fois que je dormais chez eux. J'y avais même une petite commode avec quelques affaires. Une fois sortit, je m'habillais d'une petite jupe rose pale et d'une chemise blanche qui cintrait bien la forme de ma poitrine. C'était mardi et il fallait quand même que j'aille travailler.
Déjà hier, je n'y était pas allée. J'avais dit à mon patron que je n'étais pas bien. Il était sympa, mais il ne fallait pas pousser. On avait des clients très important aujourd'hui. Ah !! Je ne vous l'avais pas dis, je travaillais dans une agence de publicité. Je devais soumettre mes idées, que mon patron d'ailleurs avait adoré. J'entrais dans la cuisine et apercevais Naruto prendre un petit café.
- T'en veux un ?
- Avec plaisir.
- Tu es en beauté aujourd'hui.
- Merci, j'ai une journée chargé.
- N'oublie pas la feuille d'arrêt de maladie pour Hinata.
- Je la remettrai à son patron.
Tout à coup, on sonnait à la porte, en même temps que mon portable se mettait à sonner.
- Cela doit être Sasuke.
- Ton nouveau coéquipier ?
- Oui et il est pile à l'heure.
Pendant que Naruto allait ouvrir, je décrochais.
Pov normal
Alors que Sasuke était sur le palier, Naruto lui ouvrit et l'invitait à entrer.
- Salut, le café est tout chaud.
- Merci, je veux bien.
Tout à coup, Sakura déboulait dans le salon et filait vers son sac, en ne faisant pas attention à Sasuke qui lui, l'avait immédiatement repéré, sans doute à cause de sa conversation téléphonique.
- Non, j'arrive... Oui... attend que je fouille dans mon sac.
- C'est ta femme, demandait Sasuke.
- Sakura, ma femme ? Non, c'est l'amie qui s'est réfugiée hier. L'ex de cet enflure de Kyo.
- Jolie lot, pensait Sasuke.
Tout à coup, Sakura coupait son portable et se tournait vers Naruto. Son regard se figeait sur Sasuke. Elle le trouvait pas mal, même beau gosse.
- Je te présente Sasuke Uchiwa, c'est mon nouveau coéquipier.
- Enchanté, disait Sasuke en lui tendant la main.
Elle se dirigeait vers lui et la lui serrait. Il se regardait dans les yeux et n'arrivait pas à s'en détacher. Soudain, Hinata arrivait dans le salon.
- Naruto, tu as oublié... Oh pardon, je ne savais pas qu'on avait de la visite.
Sakura lâchait la main de Sasuke et détournait les yeux.
- Sasuke, voici ma petit chérie Hinata.
- Enchanté de vous connaître, disait-elle en lui tendant la main.
- Moi de même, répondait-il en la lui serrant.
- Naruto, tu as oublié ton arme sur la table de nuit.
- Oui, j'y vais.
Naruto part de la pièce, laissant les trois autres dans le salon.
- Vous voulez un café ? Proposait Hinata.
- Volontiers.
- Installez vous, je vous l'apporte.
- Merci.
Sasuke s'asseyait sur le fauteuil, alors que Sakura s'installait sur le canapé.
- Alors, débutait Sakura. C'est vous qui avez sauvé la vie de Naruto ?
- J'ai aussi sauvé la mienne.
Sasuke la dévorait des yeux. Cela la gênait et elle rougissait un peu. Puis, Hinata arrivait avec une tasse de café dans les mains. Il la prenait et la remerciait.
- HINATA, criait Naruto du bout du couloir.
Elle allait à sa rencontre les laissant de nouveau seuls. Soudain, le portable de Sakura sonnait et elle décrochait sans savoir qui était au bout du fil. Tout à coup, elle prenait un visage de dégoût.
- Arrête de m'appeler sur mon portable... Non, je ne veux pas te voir... Laisse moi tranquille.
Elle raccrochait, ouvrait son portable et cassait sa puce, devant le regard ébahi de Sasuke.
- À cause de lui, il va falloir que je rachète une puce.
- C'était ton ex ? Questionnait Sasuke un peu hésitant.
- Ouais, je l'ai plaqué hier. Mais, il est trop collant.
- Je sais, je l'ai vu hier adossé à sa voiture, lorsque je raccompagnais Naruto. J'ai même faillit le frapper.
Elle le regardait un peu surprise. Avant même qu'il s'explique, Naruto revenait dans le salon.
- On y va ?
- Attend, intervenait Sakura. Tu vas me déposer à mon travail. Enfin, si ça ne dérange pas Sasuke ?
- Absolument pas.
- Merci, auparavant c'était Kyo qui...
Elle s'arrêtait un moment, puis elle leur souriait en prenant son sac.
- Il va falloir que je m'achète une voiture, disait-elle pour détourner la conversation.
Elle sortait de l'appartement en disant au revoir à Hinata, suivi de Sasuke et Naruto, qui l'embrassait, suivit d'un je t'aime. En bas de l'immeuble, Sakura et Sasuke arrivaient à la voiture.
- Elle est sympa.
- Merci, disait-il en ouvrant la portière arrière passager.
Elle le remerciait et s'installait. Durant le trajet, il n'arrêtait pas de la regarder dans le rétroviseur. Il ne comprenait vraiment pas pourquoi cet imbécile de Kyo était allé voir ailleurs, alors qu'il était avec une superbe jeune femme. Arrivé à destination, Sakura descendait à la D&D corporation, grande agence de publicité.
- Merci de m'avoir accompagné.
- Je t'en prie.
- Et merci Naruto pour l'hébergement, et le reste.
- De rien, et s'il te cherche des noises, tu m'appelles.
- Pour que tu le frappes encore, comme hier soir. Non merci, je ne veux pas que tu ais des problèmes à cause de moi. Je me débrouillerai toute seule. Allez, ciao.
Elle prenait le tourniquet et s'engouffrait dans l'immeuble. Tout à coup, une personne se jetait sur elle.
De leur côté, les deux flics prenaient la direction de l'hôpital, où ils avaient rendez-vous avec le commissaire. Sur place, ils étaient surpris de voir beaucoup de policiers, et en arrivant à l'étage, ils apercevaient Shikamaru et Kiba faisant une drôle de tête.
N'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (54.80.185.137) si quelqu'un porte plainte.
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